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Le nul à Dijon, la défaite contre Paris : quel est le plus rageant ?

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La semaine dernière n’aura pas été prolifique au niveau comptable pour les pailladins, qui à l’issue des 2 rencontres face à Dijon puis Paris ont engrangé seulement 1 point. De l’envie et de la motivation par intermitance, qui expliquent ces résultats, mais quel est le plus rageant ? 

LE NUL À DIJON ? 

Si les pailladins étaient menés dès la 2ème minute du match, ils avaient réagi de la plus belle des manières en inscrivant 2 buts coup sur coup, dominant par la suite jusqu’à la fin de la première période.

La suite vous la connaissez, au retour des vestiaires les montpellierains sont méconnaissables et vont logiquement concéder l’égalisation. Score final 2-2, une première mi-temps de haute volée, une seconde inacceptable.

LA DÉFAITE CONTRE PARIS ? 

Perdre contre Paris en temps normal ne semble pas être une catastrophe, mais le scénario de samedi y ressemble. Une première mi-temps exceptionnelle des hommes de Der Zak’ qui bloquent le jeu des parisiens, qui sont perdus dans la construction du ballon. 45 premières minutes concluent avec realisme par un but montpellierain.

Les 45 suivantes débutent sans surprise par une grosse intensité des parisiens qui mettent la pression sur le but de Rulli. Les pailladins tiennent tant bien que mal jusqu’au moment ou Neymar, sur une percée « éclair » pousse Pedro Mendes à la faute. Déjà averti, le défenseur portugais est exclu. Sur le coup franc qui suit, la star brésilienne punit les montpellierains, le PSG égalise. En supériorité numérique et dans l’euforie, les parisiens déroulent. Un 2ème but, puis un 3ème, et les Héraultais perdent la rencontre en 7 minutes. Score final 1-3. Montpellier aura tenu 73 minutes, jusqu’à l’expulsion de Pedro Mendes qui fait basculer la rencontre.

Si les 2 scénarios sont différents, ils laissent un goût amer, notamment sur l’incapacité des montpellierains à récidiver une même mi-temps, ou du moins, tenir un match ! 

 

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