Montpellier, qui descend de Ligue 1, se déplaçait chez le promu qui montait de national. Un match qui semblait tranquille, jusqu’à une fin de match de fou!
1ère MT timide
Premier quart d’heure totalement en faveur des locaux. Qui parviennent très bien à déstabiliser, une équipe de Montpellier, qui possède dans son 11 : zéro milieu de formation!
Il faudra attendre quasiment la demi-heure de jeu, d’abord, par une première jolie tête de Julien Laporte, sortie d’une jolie horizontale (24′). Ensuite l’occasion la plus grosse interviendra 5 minutes plus tard environ. Tanguy Coulibaly crée un décalage et centre. Ballon, qui parvient à Sainte-Luce du bout du pied, qui voit son ballon dévié par un défenseur et semble-t-il le poteau ensuite (32′ 0-0). Tchato de son côté repoussera un centre qui trainait devant de le but. Juste avant la mi temps, Mendy tente un une m-deux impossible, d’une talonnade. Sans suite, l’arbitre siffle la mi-temps.
Et puis c’est tout, messieurs dames. De nombreuses situations mal gérées, qui auraient pu devenir des occasions. Un Mouanga généreux physiquement mais pas à son poste de prédilection . Idem pour Becir.
Le MHSC fait sauter le verrou en 2MT
Moins de 10 minutes après la reprise, très bon travail dos au but d’Alexandre Mendy, qui décale ensuite Tchato, qui transmet à Coulibaly. Vollée avec un rebond qui trompe le gardien du Mans. (0-1 52′) Un but précieux qui permet de mener.
De la solidité ensuite et des crampes, pour Becir, et Sainte-Luce. Première pour Everson donc. Qui aura sauvé l’égalisation dans le temps additionnel, sur une frappe déviée. Que Simon sort merveilleusement (90+2). Le MHSC craquera dans le temps additionnel, 3 minutes plus tard à la 90+5 sur une tête… (1-1)
Tout le monde sattrapait déjà la tête, de souvenir de cette terrible saison passée. C’était sans compter cette ultime occasion : Alexandre Mendy, lancé de l’extérieur du pied, se battait comme un soldat, pour résister et déposer un caviar sur Junior Ndiaye, à peine entré. 90+8 Montpellier explose, 3 minutes après seulement une égalisation cruelle.
Montpellier au bout du bout, s’impose ! Et qu’elle fait du bien.
