Les pailladins traversent actuellement une crise, financière et sportive. Samedi, une victoire contre les canaris pourraient leur permettre de sortir la tête de l’eau. Avant ce match contre un adversaire de sa division, l’entraineur arménien a répondu au questions du média L’Equipe portant sur le mercato, sur l’adversaire du week-end, ou sur d’autres sujets.
Son avis sur le mercato
Quand on lui demande s’il a hâte d’être au terme du mercato, il répond: “Le mercato? Oui, bien sûr. Mais on a l’habitude. C’est pour tous les clubs pareil.”
Il tient égalemment à ne pas commenter la rumeur portant sur Andy Delort:” Je ne parle pas d’Andy Delort, je ne parle de personne. Pour l’instant, il y’a des bruits partout, mais il y’a un joueur qui est arrivé et personne n’est parti.”
La préparation de l’équipe pour le match de samedi
Quand on lui demande comment il prépare la réception des jaunes avec les potentiels mouvements dans le mercato, il répond:” On verra vendredi soir: il n’y a pas à être perturbé. On subit les événements et on s’adapte, comme chaque année, comme pour tous les matches. Il peut y’avoir un blessé la veille d’un match, c’est de notre lot de nous adapter. Des joueurs qui ne seront plus là? Je n’en sais rien. Joris, pour l’instant, il est apte à jouer, à être ddans le groupe, on verra jusqu’à vendredi soir.”
Lorsqu’il doit décrire cette équipe nantaise, il dit:” Ils n’ont pas beaucoup changés: Gbamin et Cozza sont arrivés. Ce sont pratiquement les mêmes joueurs. On s’attend à un match solide parce que c’est une équipequi, en deux matches, n’a pas pris de buts. Et ils vont très vite en contre. Il faut qu’on soit très vigilants.”
Dans cet entretien, il tient à exprimer l’importance de quelconque match contre quelconque adversaire: “Tous les matchs sont importants. On n’en a fait que 2 pour l’instant, il en reste 32, à nous de bien aborder ce match contre Nantes, pour le gagner.”
La manière de rebondir après une débacle
Le désormais ex-entraineur nantais a fait un point sur l’état d’esprit du groupe et des cadres: “Tout le monde s’est remis au travail. On a pris une bonne raclée, il faut s’en servir pour rebondir. Les cadres ont été comme tout le monde: on n’a pas été bons collectivement. Donc, il faut que tout le monde se mette au travail. C’est ce qu’on a cherché à faire: bien travailler pour mobiliser tout le monde, pour que tout le monde soit performant.”