Discussion musclée mais dans les respect, entre le peuple Pailladins des plus ultras et des supporters fidèles, réunis en nombre. Face a des joueurs dont on doute encore de la solidarité, au vu des prestations.
30.10.2024🇫🇷MHSC – Montpellier ultras (Bp91) went to the club’s training center this morning to express their dissatisfaction with the team’s poor results, check more here: https://t.co/9lJGgOtpvg pic.twitter.com/FSaoYBkD3M
— Hooligans.cz Official (@hooliganscz1999) October 30, 2024
Remettre les têtes à l’endroit
On a vraiment les ultras les plus respectueux de France. Voilà ce qu’on pourrait se dire après ce rassemblement. Car même face à une crise historique, n’en demeure les propos de joueurs cherchant à la minimiser , et si respect il n’y a pas dans un sens au vu de la pâle copie présentée, on ne peut en dire de même des ultras. Qui sont restés organisés, sans mot de travers, ni provocation inutile.
Face à une paillade de tous les records, pas l’esprit de les énoncer. Nous allons nous contenter de livrer une partie des échanges, plus précisément juste le début. Que l’on qualifiera de la plus centrale et à retenir.
“Nous n’allons pas parler football ce matin, ils ont un coach de classe internationale. Nous sommes ici car le MHSC et ses 50 ans est une institution. Nous avons le sang orange et bleu qui coule dans nos veines”
Avant de poursuivre, en parlant aux joueurs (Ferri, Teji et tous les cadres en première ligne. Hors Lecomte qui s’entraînait en spécifique)
« Vous savez ce que c’est le nom de ce centre d’entraînement ? Quelqu’un sait ce que c’est ? BERNARD GASSET, le papa de votre coach. Aujourd’hui vous n’avez pas de sang »
Les conséquences désastreuses que ces résultats engendreraient
La suite des échanges, que l’on conservera à la discrétion des ultras, rappelait plus en détail toutes les conséquences d’une relégation sportive, au sein de cette même institution . Là où ils sont au même camp que les supporters, et ne seraient que des victimes collatérales d’une absence de sang qui coule dans les veines au moment de défendre ce maillot, ce blason, ce nom et cette histoire.
Face à cela des joueurs silencieux, pas une seule réponse. Début d’une écoute partielle qui on l’espère aura des conséquences. À souligner le professionnalisme même si ce n’est pas le métier des ultras, de ne pas avoir fait partir la situation comme cela a pu être le cas à Marseille.
Avant d’entendre sortir du groupe de supporters :
« Et ne nous faites pas revenir. Car ça ne sera pas la même chose si on doit revenir »
