[MHSC 0-2 RCL] Dur retour à la réalité : De tout le match le MHSC n’aura pas existé

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Dur retour réalité pour le MHSC logiquement battu ce soir par Lens (0-2). Une rencontre durant laquelle Montpellier n’a jamais su trouver la solution et pu espérer quelque chose.

D’entrée on a compris ce qui allait se passer


Montpellier n’a pas existé de toute ce match . Il aura fallu attendre les trois dernières minutes de la première mi -temps pour voir une égalisation refusée, après un tir d’un certain numéro 7 Andy Delort repoussé et conclu par Fayad. Annulé par l’arbitre très rapidement (40′ 0-1) Pour un léger hors jeu de l’ex numéro 9 revenu il y a quelques jours. Andy Delort toujours lui sur une combinaison avec Teji qui avait apporté du danger d’une tête plongeante peu avant la demie-heure.

En dehors de ça, le néant intersidéral. 34 secondes après le coup d’envoi de ce match qui était l’opportunité de sortir de la zone rouge, Kouyaté tombe sur les fesses sur la première feinte lensoise, laissant le Lensois centrer parfaitement second poteau (0-1 1′)

Pendant tout le reste du match malgré l’apparition du tant contesté, Montpellier n’aura pas existé . On aurait par moments cru voir un match de U13 contre une équipe de joueurs pro. Sur les retards, les décalages. Toujours un temps de retard, aucune inspiration, offensive, aucun pressing. Modibo Sagnan joueur le plus inspiré offensivement, avec Andy Delort. Après les deux victoires, nous avions presque oublié cette image du club. Les mots manquent, quant au contenu que nous avons pu observer ce soir.

2MT : Une équipe sans âme , toujours

C’est alors là qu’au moment du second but l’an soir, la plupart des supporters avaient compris que ce soir Montpellier s’inclinerait (0-2 61′). Alors lorsque l’un des seuls joueurs amenant du mouvement devant sortait, et laissait place à Khazri… les carottes paraissaient pour beaucoup cuites en tribune.

Coulibaly fera briller le goal après une jolie frappe, et quelques jolis décalages. Voilà le niveau de satisfaction ce soir, à l’image d’un Omeragic qui semblait perdu au milieu, ou du fantomatique Enzo Tchato, gardant un côté par lequel passent toutes les offensives, la plupart du temps en retard. Et étonnamment en poste presque la totalité du match.

Aujourd’hui , la prestation a été tellement lunaire, qu’il est compliqué à chaud de trouver les mots pour vous décrire cette rencontre. Le dur retour à la réalité.

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