Jean-Louis Gasset : “Tant que la bougie est allumée, il faut travailler et croire en son destin”

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À deux jours du déplacement à Lille, Jean-Louis Gasset a une nouvelle fois évoqué le maintien auquel il croit toujours. Mais avant de se maintenir, il va falloir commencer à gagner des matchs et cela passera par une meilleure efficacité offensive et défensive, comme le rappelle le coach auprès du Midi Libre.

Le point sur les absences et les retours

Face à des lillois chez qui Montpellier n’a plus gagné depuis belle lurette, le coach pailladin pourra compter sur les retours de Tanguy Coulibaly, suspendu face à Rennes, et Othmane Maamma, opéré des dents de sagesse et touché à la cuisse. Toutefois, “on perd Khalil Fayad qui est suspendu, Issiaga Sylla n’est pas loin, ce sera pour la semaine d’après”, a précisé JLG.

Le MHSC encore en vie selon Gasset

Malgré ses cinq points de retard sur le barragiste, Jean-Louis Gasset croit encore au maintien à dix journées de la fin : “Tant que la bougie est allumée, il faut travailler et croire en son destin. On vient de perdre 5 matchs de suite, même si c’est Nice, Lens, Rennes, Lille, et on voit que la différence n’est pas faite. Normalement, quand on perd 5 matchs d’affilée, on a 10 points de retard et ça sent le sapin. Là, non.” Il faudra notamment avoir plus de réussite que face à Rennes où les pailladins se sont vus refuser deux buts pour des positions de hors-jeu très limites : “Si on fait la première mi-temps de Rennes, à un moment ou à un autre, ça va tourner. Ça paraît improbable que ça aille autant contre nous, même si on tombe un peu dans la paranoïa.”

Même si la rencontre de ce week-end tombe entre deux matchs de Ligue des Champions pour Lille, Jean-Louis Gasset est conscient du challenge qui arrive pour les pailladins :Ils sont avertis parce qu’ils ont déjà fait des faux pas. Que ce soit en Coupe de France ou contre Le Havre, ils savent qu’ils ont déjà perdu les points. Il n’y aura pas cet effet de surprise. Ils vont vouloir tenter de nous mettre au pli, rapidement. À nous de résister, de faire durer le match, et après essayer de leur faire peur.”

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