Dernière de prestige ou non à la Mosson, non pas compte tenu de la descente en L2, mais plutôt celle des “faux” supporters présents… pour le club de la capitale.
1MT : Du travail remarqué, toujours les mêmes lacunes
Saveur particulière donc, entre peine des passionnés et opportunisme des moins concernés. Toujours est-il que ce match commence fort :
- 6′ : grosse occasion pour Coulibaly qui finit seul en face à face et vient buter sur le gardien. Un joli mouvement orchestré à 3 qui termine ensuite sur une frappe poussive de Chotard, captée sans souci.
- Coulibaly, une nouvelle fois trouvé en profondeur éliminé et ne parvient à centre en retrait. Grosse situation même si le jeu en une touche aurait sans doute permis à Fayad de conclure. (11′)
Peut-on vraiment parler de domination face a un Paris-Saint-Germain déjà sacré ? Qui joue une finale européenne et qui fait tourner… mais toujours est-il que sur ces 10 premières minutes il n’y a que Montpellier qui a existé !
Voire même jusqu’à la demie heure, avec ce nouveau débordement, que Tchato ne parvient à centrer correctement pour conclure. Une grosse occasion en retour, la première et la plus grosse du match, avec cette transversale trouvée par le PSG après un dégagement direct du goal, qui a failli se transformer en passe dé (31′)
Lecomte sauve la suivante (42′) et le ballon est dégagé en catastrophe. Paris se montre plus présent. Et marque sur l’action suivante (0-1 44′). Ça se sentait. Malheureusement.
2MT : Ça s’annonce salé
5 minutes à peine, Ramos claque le 0-2. Là où Montpellier a dominé la première demi-heure, il est probable que ce ne soit pas du tout la même, Paris ayant sans doute la consigne de se préparer pour la finale face à l’Inter. Faute de Ferri et penalty. (0-3 58′)
Le milieu de terrain se rattrape dans la foulée puisqu’il amène une belle remontée de balle et lance seul Coulibaly qui fixe et élimine (64′ 1-3).
À peine le temps de se replacer que le PSG creuse à nouveau l’écart d’une frappe sublime (65′ 1-4). Triplé pour Ramos.
On en restera là, tant mieux ou tant pis. On s’arrêtera sur ce joli hommage des ultras pour Philippe Sers
“Des buts, des cris, des frissons… Merci Sersou”