Dans un entretien accordé à Sky Sports, Olivier Giroud est revenu sur l’année qui a défini sa carrière. Entre le titre mémorable obtenu avec le MHSC et son départ vers Arsenal, il livre un témoignage empreint de nostalgie.
Un exploit historique face à l’émergence du PSG
Pour Olivier Giroud, le club de La Paillade reste le point de départ de son ascension. Il affirme avec reconnaissance que “Montpellier, ça a été le grand pas “. En 2012, le MHSC a déjoué tous les pronostics en s’imposant face à un Paris Saint-Germain qui venait de passer sous pavillon qatari et qui affichait déjà de grandes ambitions.
L’attaquant souligne la dimension héroïque de ce sacre. Il explique que “les Parisiens étaient déjà très forts et c’était vraiment inattendu, un peu comme Leicester en 2016 “.
Sacré champion et couronné meilleur buteur du championnat, Giroud a vu son destin basculer lors de cette année charnière, marquée également par sa première reconnaissance nationale lors de l’Euro 2012.
"My wife handed me the contract from her handbag at the Euros!"
Olivier Giroud remembers when Arsene Wenger called him to sign for Arsenal in 2012 🤩✍️ pic.twitter.com/VDCuq1oscD
— Sky Sports Premier League (@SkySportsPL) December 15, 2025
Un transfert d’Olivier Giroud vers Londres scellé par une surprise
Le retentissement de ses performances en Ligue 1 a rapidement traversé la Manche. Olivier Giroud se souvient précisément du moment où sa carrière a pris un nouveau tournant vers la Premier League :
J’ai terminé meilleur buteur après être revenu en équipe nationale, et ensuite j’ai reçu cet appel d’Arsène, qui m’a emmené à Londres.
Alors qu’il se trouvait à Donetsk pour disputer l’Euro avec les Bleus, c’est son épouse qui a été la messagère de son avenir. Il se remémore avec tendresse les paroles de sa femme : “Regarde, j’ai quelque chose pour toi dans mon sac à main“.
À l’intérieur se trouvait le fameux contrat avec Arsenal, le sésame pour l’un des clubs les plus prestigieux d’Angleterre. Pour le champion du monde, ce dénouement inattendu en pleine compétition internationale demeure l’un de ses “plus beaux jours“.


