Débat

2024/2025 : L’Esprit Paillade doit être plus fort que tout

109

Alors que plusieurs vents contraires viennent souffler sur le club et la Ligue 1, cette année est notre 50ème. Symbole fort, et raison de penser que l’on ne peut tout prédire. Même si, le doute reste permis…

« Toujours se déplacer, ne jamais rien lâcher, c’est notre mentalité 🎶»

Le renouveau perpétuel du club

Déjà la 16ème saison qui s’amorce depuis notre remontée. Une génération entière aura eu le temps de naître et partir à la retraite. Bientôt la fin des générations 90 et oui… que le temps passe.
Mincarelli, Maamma, Issoufou et tous les autres jeunes lancés sont le symbole d’un renouveau. La où Cabella, Belhanda, Chotard (sur le départ logiquement) restent nos stars d’hier, et Teji ou Nordin celles d’aujourd’hui.

Ultras comme joueurs : Impossible n’est pas Pailladin…

Les plus fidèles supporters, qu’ils soient Ultra, sympathisants de la Butte ou supporters traditionnels, pourront vous raconter qu’ils en ont vu des vertes et des pas mûres. Que ce soit depuis 5, 10, 20 ou 40 ans, la foi de chacun est ce qui constitue la force d’un club. Un temps critiqué, un temps dans le doute, un temps adulé, la Paillade est faite d’orange et de bleu : Des monts et de vallées, de top et de flop. Avant toute chose l’Esprit Paillade reste de faire cette prouesse, de ne jamais abdiquer. Jusqu’à quand ? Seul Dieu le sait. L’engagement des supporters, et des joueurs est la ligne directrice que le club se doit de garder, pour atteindre ses objectifs. Qu’ils soient en terme de classement, de stade, ou de stabilité financière.

Le capitaine ne quitte pas le navire, même dans la tempête

La famille Nicollin, représentée à ce jour par Laurent, qui a repris le flambeau, perdure depuis plus de 15 ans en Ligue 1. Chaque année un exploit, devenu formalité. Qui aurait cru que Sochaux, Bordeaux ou Saint-Etienne et on en passe, sombrent, lorsque le club de la Paillade survit.
Au même titre que la communication du club, de nombreux secteurs continuent de se développer. Petit à petit l’oiseau fait son nid, dit-on. Symbole d’une résilience à toute épreuve, là ou tous les bookmakers vous diraient peut-être de mettre la clé sous la porte. De la reconnaissance, et rester humble, c’est aussi ce que l’on se doit, face à une telle tache, aussi complexe puisse-t-elle être dans une économie mondiale plus qu’instable, en ces temps modernes…

Après la pluie vient le beau temps dit-on. Merci capitaine d’être toujours là, là où d’autres sont à la dérive. Et prions que ce ne soit pas nous un jour…

 

Article précédent
Geronimo Rulli de retour en France
Article suivant
(U17) Les Pailladins vainqueurs de l’OL

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Vous devez remplir ce champ
Vous devez remplir ce champ
Veuillez saisir une adresse e-mail valide.
Vous devez accepter les conditions pour continuer

Michel Der Zakarian est-il encore l'homme de la situation ?