[Anciens] Ambroise Oyongo, un retour en National

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Ambroise Oyongo, latéral camerounais de 33 ans, a rejoint le Paris 13 Atletico, une équipe promue en National. Après deux ans sans jouer, l’ancien joueur du MHSC voit cette opportunité comme un nouveau départ, avec en tête l’envie de reprendre son rôle sur le terrain, et pourquoi pas, de retrouver un jour la sélection nationale.

Un transfert influencé par un ancien coéquipier

Interrogé sur son arrivée dans ce club, le défenseur raconte qu’il a été influencé par les conseils de Karl Toko-Ekambi, coéquipier en sélection :

J’en ai parlé avec coéquipier en sélection Karl Toko-Ekambi qui a joué dans ce club. Je ne savais pas grand-chose. Mais il m’en a dit que du bien. Je cherchais un club pour rebondir après deux saisons sans jouer. J’ai eu des difficultés pour me relancer. (Propos recueillis par Foot Amateur)

Le mental d’acier d’Ambroise Oyongo après deux ans sans jouer

Voir Ambroise Oyongo, qui a représenté le Cameroun au niveau international, rejoindre un club de National peut sembler surprenant. Mais pour lui, cela fait partie des imprévus de la carrière d’un footballeur :

Ça paraît peut-être bizarre mais il faut se dire que le parcours d’un footballeur n’est jamais simple, il y a des choses qui peuvent arriver. Il faut savoir prendre sur soi et relativiser. J’ai accepté ce challenge, j’avais besoin de jouer, de gagner en confiance, de retrouver mes qualités. Il faut avoir une force mentale !

Une relation spéciale avec la famille Nicollin

Le joueur a également évoqué son passage à Montpellier et sa relation avec la famille Nicollin :

C’est le père, le fils, les petits fils, c’est la famille quoi… Une fois que tu rentres dans la famille, tu es un Nicollin. Le père a fondé une famille, un club. On nous a tendu la main. Nous sommes reconnaissants. J’ai été invité pour l’anniversaire des 50 ans du club le mois prochain comme tous les joueurs passés par ce club. Ça démontre l’esprit de famille. Laurent Nicollin est une icône, une image inoubliable du football en général.

Pour lui, cette expérience à Montpellier et la relation avec les Nicollin restent gravées dans sa mémoire :

C’est une famille qui est unie et rien ne peut briser cela.

 

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