Hier Montpellier s’est incliné à nouveau 2-0. La faute à beaucoup d’éléments. Dont un certain plutôt récurrent. Focus ce jour.
Dans le placement, dans les idées et dans les mouvements, les analyses vidéos avant d’affronter le MHSC ne doivent pas être les plus dures de la saison. Tant ce problème saute aux yeux.
« Dans le mauvais, Tchato est régulier »
Voici les phrases que l’on peut lire sur les réseaux, marquées d’un certain agacement , mais également d’incompréhension.
En effet, avec plus de recul, difficile de comprendre.
– Difficile de comprendre comment avec tous les défenseurs que le club possède, la direction ne s’est jamais posée la question sur les latéraux. – Difficile de comprendre comment, malgré des prestations correctes qui se comptent sur les doigts de la main, Enzo Tchato reste le patron à ce poste.
– Difficile de comprendre comment même le jeune Théo Sainte-Luce, a fini par passer complètement au travers hier, et ne faire pas mieux que le joueur en poste de l’autre côté du terrain sur son côté.
Match après match, ils ne sortent jamais la tête de l’eau
Mais surtout : difficile de comprendre comment le MHSC n’a pas compris l’importance de latéraux de qualité pour gagner un match : distiller de bons centres , et stopper les offensives. Pourtant chaque week-end si on prend les 2 défaites, ces joueurs n’obtiennent même pas la moyenne. Constituant LE point faible de la défense se répercutant ensuite sur d’autres joueurs.
Car oui n’ayons pas peur de le dire, dans le foot de 2025 il n’y a plus de libéro, mais les centraux sont tout autant importants que les latéraux.
Un problème qui ne date pas d’hier
Et pourtant… Junior Sambia est à ce jour au sommet du montagne là où il était au creux de la vallée pour beaucoup de supporters à l’époque du “top MHSC”. Symbolisé en outre par ce penalty raté face au PSG, mais également de prestations contestées, au niveau des intentions et des positions de corps déjà à l’époque. Ambroise Oyongo, Arnaud Souquet, Issiaga Sylla, ou Sylvan Hefti constituent tous à eux des débats à des intensités différentes . Pour dire l’ampleur du problème, la plupart de leur détracteurs signeraient actuellement pour leur retour. Syndrome du “pelouse plus verte chez le voisin ” ou imageant cette décadence sans fin ? Seul dieu le sait dira-t-on…
En attendant, les points s’en vont…
