Un récent bilan dressé par le journal l’Equipe, résume la situation des déplacements en Ligue 1. Vis-à-vis de leur impact sur l’empreinte carbone. Sujet au coeur des débats dans l’écologie, et depuis les récentes déclarations de C. Galtier.
Montpellier joue le jeu
Comme présenté dans l’accroche, on dit que « Les hommes mentent mais les chiffres non » . L’exemple se confirme avec Marseille : 169 km de distance, nous séparent de la cité phocéenne. Et pourtant le MHSC compte 4 déplacements de plus en bus. Plus du double. La couronne revenant à Paris, avec 0 déplacements alternatifs. De quoi faire du second degré en effet!
Dans le sud, même constat pour Nice (3) Lyon (3) Monaco (2) dans le sud, très peu de déplacements en bus, permettant de jouer le jeu dans le bilan carbone. Dans le nord aussi, en Bretagne. Malgré une proximité, beaucoup de clubs ne dépassent pas les 4 déplacements en bus.
Le MHSC en tête
Aux cotés de Reims, Montpellier est l’équipe qui varie le plus ses modes de transports. L’étude rapporte que si on se base sur les résultats de l’année dernière : le MHSC s’est déplacé 12 fois en avion, pour 7 fois en bus.
Monaco, Nice, Saint-Etienne, Bordeaux Marseille Lyon et Clermont sont les villes pour lesquelles le bus a été préconisé.
Monaco, Nice, Saint-Etienne, Bordeaux Marseille Lyon et Clermont sont les villes pour lesquelles le bus a été préconisé.

Si Montpellier est dernier au classement des cartons rouges, le club est premier en terme du respect de l’écologie. De quoi se donner des raisons de continuer à planter !