Messi(e) des premiers matchs, le Jordanien n’est désormais plus qu’un mirage sur le terrain héraultais. Si les supporters pointent du doigt Adams, il faudrait peut-être commencer à en faire de même pour Tamari…
A chacun ses bémols
Pour Akor Adams, l’absence de break dans sa saison avait été apportée pour justifier ses problèmes de finition. Soit. Peut-être bien.
Pour Mousa la situation peut sembler plus paradoxale. S’il possède un point commun avec Adams, à savoir, la générosité dans les efforts, il semble victime du même sorcier au MHSC. À la différence que cette malédiction ne semble pas le frapper avec la Jordanie, où il est très inspiré.
Avec sa blessure, rien de sûr ?
En effet : presque aucune de ses initiatives ne parvient à tromper les défenseurs. Au mieux, un contact non sifflé dans la surface. Dimanche encore, des dribbles tirés par les cheveux, et aucune réussite. Remplacé à la mi-temps, et connaissant la gestion des changements de Der Zak, c’est dire son mauvais match!
Loin, très loin de ce qu’il affiche, en terme de confiance et d’initiative avec la Jordanie, lors de la coupe d’Asie notamment.
La porte ouverte à beaucoup de questions
Des questions légitimes qui se posent alors : Son cœur bat-t-il pour un autre ? Ou est-ce l’écart de niveau entre ses adversaires en sélection et les joueurs de Ligue 1 qui cause une telle différence ?
Sur les réseaux, chacun se fait son propre avis, en voici quelques-unes :
ça tombe sur Tamari comme c'est tombé sur d'autres avant dans la team MHSC.
Pour moi c'est pas l'envie , il est juste cuit et je comprends pas comment personne le voit.Quand un joueur base son jeu sur la vitesse 1/2
— momo (@lepailladinfou) April 8, 2024
Comparer le tamari en sélection et avec Montpellier montre que vous êtes incapable d’avoir une logique cohérente quand on parle foot,
— Randal crampons moisis (@couscousserie) March 26, 2024
Un réveil avant la fin, vous y croyez vous?
À suivre…