Lorsque les prestations ne sont pas bonnes, l’arbitre devient toujours plus une cible désignée. Pour autant, Montpellier a été victimes de décisions qui compliquent de suite la tache (Monaco par exemple). La fin ce dimanche avec Turpin au sifflet ?
Les statistiques avec nous
Clément Turpin sera l’arbitre de ce MHSC-OM. Le MHSC n’a perdu que 28,6% de ses matchs avec le français de 42 ans au sifflet. (@MeteoFootMaps)
Les MHSC-OM un peu moins ?
Forcément un bien classé (futur champion selon Laurent Nicollin) ça attire les intérêts et met un poids supplémentaire sur les épaules d’un arbitre. A l’image de celui des 100 ans de Monaco sur l’arbitre qui a eu peur de sortir le rouge ou au point d’inventer 8 minutes toutes droit sorties de la fiction digne de Star Wars.
Face à Marseille, on se rappelle forcément de cette scène lunaire ou Mandanda venait annuler un but après discussion avec les arbitres ! Une autre époque, où la VAR n’existait pas, et ou ce genre de scène était encore plus rare. De nos jours être arbitre, c’est être avocat. `
L’arbitre c’est important, mais pas que!
Et dans l’art de parlementer, une chose est sûre : les marseillais sont bien plus entraînés que les Pailladins, à qui un peu de révolte collective ne ferait pas de mal, pour obtenir des décisions plus justes.
(Cf : pas grand monde n’est venu s’outrer après le coup de pied dans la tête de Teji Savanier face à l’ASM par exemple, là ou des protestations plus véhémentes auraient peut-être incitées l’arbitre à consulter la VAR, et accepter l’évidence du geste.)
De la solidarité et de la force, il en faudra aussi pour présenter une copie convenable. Si on enlève le score, la prestation du MHSC en a été une plutôt bonne. Jusqu’à un certain trou d’air après le premier but. Eternel relâchement à corriger en priorité, avant de se focaliser sur l’arbitre.
A suivre…