Mettons de côté le match des 50 ans, et reconnectons-nous à la situation du championnat de France : si la semaine passée, Montpellier s’est imposé, le MHSC le doit en bonne partie … à Mousa Tamari. Retour sur sa prestation et son importance pour le club.
Feu de paille regrettable au vu de ses qualités ?
Et face à un tel niveau, qui a apporté beaucoup de mouvement devant de la régularité serait appréciable. Mousa Tamari, l’énigme du Messi(e) des premiers temps, qui s’est effondré dans des choix mystérieux, pour s’éteindre progressivement.
Apothéose du conflit interne, ce but en amical, qu’il s’était dévoré, par provocation avec un adversaire contre qui il s’était brouillé, et avait alors tenté de rentrer dans la cage balle au pied. Tandis qu’en sélection, summum du paradoxe, le joueur brillait.
Match référence face à Brest
Pour autant, le joueur considéré comme un semi cadre, a su relever la tête dimanche passé, pour être l’offensif, ayant amené le plus de danger dans le match, même s’il n’a pas été décisif. Aurait-il dû être récompensé du second penalty gâché par Arnaud Nordin ?
En effet, ça lui aurait peut-être fait du bien dans la tête, de voir son nom affiché sur l’écran géant du Stade. Côté club avec un Mousa en forme, le MHSC bat des clubs qui jouent l’Europe.
Beaucoup d’éléments qui permettent un tel raccourci, mais factuellement, il y a un peu de vrai. Car le problème d’une équipe qui doute, c’est que les joueurs deviennent statiques, paralysés. Et à Brest, c’est tout, sauf ce que le jordanien a fait.
La même face à Saint-Étienne ? On signe de suite